Pont-de-Veyle : Les parents d’élèves doivent se mobiliser

C’est le message qui ressort à l’issue des assemblées générales conjointes ce jeudi soir du Sou des écoles et du Relais de Pont-de-Veyle, association gestionnaire de la cantine et de la garderie.
VisuelCdfPdv2024
VisuelCdfPdv2024
Précédent
Suivant
Les deux assemblées générales conjointes ont réuni peu de familles
SOU DES ÉCOLES

La Présidente Jessica Bresset-Avena a un franc-parler apprécié par la rédaction : « Nous avons organisé diverses manifestations pas toujours très rentables aux vues de l’investissement humain. La course aux œufs a été maintenue in extremis grâce au renfort de bénévoles du Comité des fêtes que je remercie de nouveau. Ce sont tout le temps les mêmes qui sont sur la brèche. Nous-aussi, on aimerait profiter de bons moments avec nos enfants lors des manifestations ! C’est décidé, on ne prendra plus de bénévoles extérieurs. On annulera les manifestations si nécessaire cette année. Les parents sont prévenus, on a besoin de l’implication de tous, chacun à son niveau ! »

Les six membres sortants du Bureau prolongent leur engagement et sont rejoints par deux nouveaux membres actifs. De nouvelles bonnes volontés sont attendues !


RELAIS DE PONT-DE-VEYLE

L’association repose sur quatre bénévoles (très) actifs qui laisseront leurs places à l’issue de cette année scolaire. Une phase de transition sera nécessaire pour reprendre le flambeau. Cette gestion associative associée à la mise à disposition de personnels par la municipalité (environ trois équivalents temps plein) permet aux familles pont-de-veyloises de bénéficier de tarifs très compétitifs autant pour la cantine que pour la garderie.

Pour le maire Michel Marquois, « la municipalisation de ces services est envisageable mais entraînerait une augmentation conséquente pour les familles. » Á nouveau, de nouvelles bonnes volontés sont attendues.


Le mot de la fin revient à la Présidente du Sou : « Malheureusement, tout marche par menace de fermeture pour trouver du monde. Le tissu associatif local repose sur un trop faible nombre de personnes. »

Texte et photo : Éric Bernet

Partagez cet article !