Grièges – Nid’Poule Festival : Un final en apothéose

La rédaction était présente ce week-end à l'ultime édition de ce Festival. Elle vous propose un retour qualitatif assorti d'une belle galerie « photos ».
MarcheSaveurs1
MarcheSaveurs1
Précédent
Suivant

Seriez-vous intéressé par une version papier du journal L'Aindépendant ?

Après un beau démarrage le vendredi, la soirée du samedi a tenu toutes ses promesses avec un final, réalisé par les griégeois de la Pignata, à la fois drôle et émouvant. Près de 200 personnes y ont assisté dont certaines n’ont râté aucune des huit éditions du Nid’Poule Festival. Bien entendu, c’est la fin d’un cycle pour l’association organisatrice « Chaud comme la Bresse » mais seulement d’un cycle car d’autres projets émergeront prochainement. Son Président Maxime Charvet, également chanteur de la Pignata, nous a fait quelques confidences.

« Ce fut un week-end très très puissant. On est passé par toutes les émotions avec notamment les aléas techniques du vendredi soir. Au final, je suis très heureux. Le vendredi fut une belle soirée avec plusieurs projets atypiques. Le samedi a très bien démarré avec une belle affluence pour le Before avec Lou Nell ! »

Et c’est terminé en apothéose : « D’habitude, on joue une heure. Mais là, on s’est senti vraiment porté car tous les gens étaient avec nous. C’était notre dernière date de tournée. On a duré une heure trois quarts malgré la fatigue. Ce fut très très fort en émotions ! Passer de l’autre côté du décor, c’est très particulier. L’ambiance était super ! » précise Maxime Charvet.


LA SUITE, PAS TOUT DE SUITE

« C’est une page qui se tourne mais pas un livre qui se ferme » convient Maxime pour qui « ce Festival était le gros bébé des neuf membres très actifs de l’association. On va d’abord se reposer un peu puis on envisagera de nouveaux projets, en commun avec nos amis de Pogo Tango et d’Atazik. Pour le reste, on va se laisser du temps » explique Maxime, à peine remis de ses émotions du week-end.

LES REMERCIEMENTS

Le Président de l’association « Chaud comme la Bresse » a notamment remercié son équipe de 20 à 30 bénévoles mais aussi les sponsors et la mairie de Grièges sans qui le tarif n’aurait pas pu être de cinq euros par soirée. « On est vraiment très fiers de l’ouverture culturelle qu’on a permis à Grièges par la programmation de 41 projets musicaux originaux venus de toute la France. C’est juste fou ! » conclut-il.

Texte et photos : Eric Bernet

Photo d’accueil : Maxime Charvet en plein concert

Abonnez vous pour ne manquer aucun article !

*Vous avez la possibilité de vous désabonner quand vous le souhaitez.



Partagez cet article !