Pont-de-Veyle : « Je paie très chère la crise énergétique » déplore la tatoueuse Léa Grand

Elle s’était implantée en janvier dernier dans la grande rue. Elle a déjà dû fermer sa boutique. Témoignage.
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« Je suis en micro-entreprise avec les charges Urssaf sur mon chiffre d’affaires » prévient-elle avant de décliner ses autres charges : « Mon loyer tourne autour de 300 euros mais je payais 400 euros d’électricité pour 31 m2 et 120 euros d’eau alors que ne fais que tirer la chasse d’eau des toilettes. C’est la réalité des nouveaux contrats intenables pour un particulier ou un micro-entrepreneur ! » soupire-t-elle.  « L’État enfonce les petits. Il n’y en a que pour les riches ! » conclut-elle.


Propos recueillis par Éric Bernet

Photo d’accueil : La devanture du salon de tatouage éphémère où Léa Grand a fait part de son indignation.

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